Le week-end a été riche en rebondissement. Lundi, joe biden avait envie d'apparaitre sur la photo de famille à Kiev. Alors qu'il est affamé de gloire, il vient en vitesse après les rebondissements de l'histoire avec des informations du week-end dernier. L'on peut se demander comment a-t-il sentit que la fin du conflit Russo-ukrainien allait, enfin toucher à sa fin. Dimanche soir, le président macron à Munich avait fait la synthèse à la fois de la fermeté, "sans dialogue possible", à cela s'ajoutait une affirmation, celle de "ne pas écraser la russie". Il précise dans un non-dit, à la fois sur le plan militaire; sur les cours du pétrole et de l'agroalimentaire. Et que quelqu'un lève le doigt, si toutefois, ce ne serait pas exact, ce que j'affirme. Mais nous ne sommes pas dans une école et je ne suis pas un hussard noir de la république, donnant la parole aux journalistes de la classe. Alors revenons aux problèmes qui nous intéresse, en l'occurrence la Russie et la paix; car, si ce n'est, ni d'actualité (sur les ondes), ni avec la volonté des américains, ni avec celle de l'europe, alors l'espoir n'est plus permis. Ce matin du 21 février 2023 le président poutine va s'exprimer et il sait qu'il ne peut pas gagner, ni sans l'alliance des pays emergents, ni sans l'industrie de la chine; Cependant, maintenant, il le sait également car le conflit peut être propre, s'il en doutait encore. L'arrivée de Joe Biden à Kiev va aussi dans ce sens. Je fais référence à ce détail de formule individuelle dans ces pages avec un "communiqué démocratique véritable" (Intelligence Militaire) qui peut apporter la paix dans cette zone de l'europe car au lieu d'être à Rungis à 5 heures du matin, de temps en temps, il faut savoir sortir du bunker et moi bientôt sdf, il ne me reste la valeur travail, ce que je n'ai jamais arrêté de pratiquer depuis 1989. Mais dans la rue pour garder son ordinateur c'est difficile, et avec des aliments, c'est compliqué de les garder au frais