terminal-media.fr
icon icon facebook icon icon icon icon
cross

 
rss
 
ARTICLE
SCHEEZZY BUSINESS
(21/12/2022)

Rendez-vous

Jeudi 15 décembre 2022 à 11 heures, j'ai eu un rendez-vous avec ma psychiatre. Au début de la conversation, nous discutons sur les sujets suivants: L'augmentation des "burn out" chez ses patients et l'impératif de vouloir se protéger "juridiquement parlant" de la part des toubibs. Mais aussi la pression sociale sur les employés avec ce nouveau phénomène de maladie mentale qui n'existait pas vraiment auparavant. Puis, après nous portons la conversation vers mon cas, qui n'a rien à voir avec un "Burn Out", mais dont la particularité, mérite de s'y pencher, un instant.

Les dates

Elle aborde le sujet de ma mère, un sujet sur lequel, elle a tendance a beaucoup s'arrêter pendant la consultation comme si elle se sentait obligée avec un effet mirroir de "tater le terrain". Je répond à ses questions, rien de très marquant en ce qui concerne ce sujet abordé, comme si tout devait se résumer à mes rapports avec ma mère ! Avec ce type de psychologie et les rapports fils/mère. Ce totem récurent, seul semble l'éclairer et revient dans une sorte de caractéristique qui domine dans la conversation. Pendant cet entretien, elle ne va pas aborder la posologie des médicaments ni mon ressentie, mon sommeil ou concernant mes activités et la vie courante, ect, ect. Le choix des dates de rendez-vous (environ tous les mois) coresponde à des phases précises qui concernent des états de santé, par palier. Il y a donc un facteur de temps physiologique correspondant à la santé générale. l'interdépendance de la forme physique et la posologie à prescrire au bout de telle ou telle période s'enclenche et ne fait appel à rien concernant des troubles mentaux. Reste juste une interdépendance physique face à un traitement médicamenteux qui agit sur un effet de manque. Sans une certaine dose, vous souffrez, et vous vous déteriorez petit à petit, ce qui explique la dépendance aux soins, le contrôle par les institutions ou le médecin libéral, et forcement la soumission qui amène à la violence sociale de votre condition, au bout d'un certain temps. Le toubib le sait bien. Ce qui entraîne une bonne petite rente si vous gardez le patient longtemps et les médicaments entretiennent cette dépendance. Je ne suis pas dupe et elle commence, elle, et la profession à s'en appercevoir d'où la volonté d'assener la chape de plomb sur mes épaules à nouveau. Vous le savez, je ne suis pas marié, avec elle et s'il faut faire 20 kilomètres pour consulter un autre psychiatre pour une question d'ordonnance, ce n'est pas un problème. D'ailleurs autre détail, elle devait s'attendre à ce que j'écrive à nouveau sur le sujet, cette brave dame, et cet hiver, il fait froid dans sa grande maison qu'il faut chauffer avec des radiateurs électriques. Retenez une chose, plusieurs avis valent mieux qu'un seul. Vous pouvez consulter plusieurs médecins mais sachez que tout est pisté avec votre carte vitale. Chacun d'entres eux pourra s'informer et s'étonner de visites, plus ou moins nombreuses que vous aurez effectuez, chez les uns et chez les autres. Pour autant, il faut toutefois ne pas devenir trop radical par la sécurité de votre santé. En tout cas, toujours rester calme, courtois et posez les bonnes questions avec le professionnel de santé, c'est primordiale, indispensable même.

Violence du détail

Autre détail, mais très intéressant à savoir. nous abordons les causes qui provoquent la maladie qui a été diagnostiqué par un médecin psychiatre de caen, en février 2006 et pour lesquelles, je prends des médicaments tous les jours, évidemment pour éviter les signes de la rechute. Il faut rappeller que les premiers symptômes, datent d'avril 1989, et ça dure et ça dure... et nous n'avons la paix nulle part, même quand nous l'avons vraiment avec nos noms perdus dans un banal disque dur, qui dure... qui dure... Quant à ma psychiatre libéral depuis avril 2022 elle revient en arrière (par rapport à ses prises de positions ultérieures) avec des réponses et des conclusions qui sont maintenant différentes et qu'elle avait prise lors des précédents entretiens. D'une part, elle donne désormais une version sur les causes de la maladie qui sont "multi-factorielles", une combinaison drogue alcool sexe et des conduites à risques et cela fait environ 25 ans que j'entends la même rengaine, venant des "professionnels de santé, publique et privée qui agissent avec le paquet cadeau (la maladie, les médicaments) et la ficelle dorée et maintenant le disque change avec les psychiatres libéraux (selon leur politique). Avec elle, auparavant, j'ai évoqué le fait que la maladie s'inscrit maintenant comme le nouveau cheval de bataille auquel les psychiatres assurent, à la fois, une sorte de rempart (L'ange Gabriel terrassant le dragon, (utilisant un mythe chrétien du treizième siècles (fin du moyen-âge)) et je précise qu'avec ces phénomènes nouveaux de conduite à risques (cannabis et le reste) les professionnels de la santé opèrent avec un procédé précis. Attention, je ne fais pas l'apologie des substances illicites, j'explique un phénomène en apportant mes réponses face à une situation vécue depuis plus de 35 ans. Ce phénomène de risque et de danger qui apparaît et que l'on détecte chez des adolescents et les jeunes adultes, c'est aussi et reste un véritable filon, un nouveau marché économique pour le secteur tout entier de la santé mentale et puis surtout, si l'on peut en exclure un ou deux du jeu professionnel dans certaines entreprises, l'on s'en lave les mains. Les cas concernés, à termes, deviennent une charge pour le service public de santé et pour peu que vous aimez sodomiser les mouches avec des rapports sexuels inapropriés, vous êtes succeptible d'être contaminés parmis les premiers et devenir un bon client. C'est aussi, une récupération et une main-mise des laboratoires pharmaceutiques pour beaucoup américains qui soignent mais ne guérissent pas. Ca se comprend, il ne faut pas tuer la poule aux oeufs d'or avec une belle rente à l'échelle mondiale. Comme un autre vulgaire "business", c'est un filon, une mine d'or, un eldorado où la philantropie et la volonté d'aider son prochain n'existent absolument pas. Pire, car entre parenthèse, ça coute aux états, notamment européens très cher avec des charges lourdes dans une économie qui pourrait s'intérresser à des cas vérifiés et non pas, artificiels voire arbitraire. J'évoque également le fait que cette toubib a admis précédement que "le produit néfaste et unique" (le virus) consommé une fois et qui amène aux tout premiers symptômes, se déclare de façon instantané et infecte le cerveau tout de suite après son absorption, par voie orale. C'est plutôt une informaton que je soutiens et qui vient contrarier la thèse du aussitôt consommé aussitôt infecté. D'après ce que je sais dans mon cas il a fallut en mars 1989 me faire fumer, ce que je croyais être du cannabis mais qui avait été coupé avec de la métha-amphétamine. Je fumais le soir avec les gentils petits camarades et après impossible de dormir jusqu'à 6 heures du matin, ensuite je dormais, 2 heures, le réveil deux heures plus tard et après un bon café, évidemment plus question de pouvoir dormir. A ce rhytmme pendant une semaine, tenir à été une sorte de miracle et la seule façaon d'en sortir devait être par la visite chez le premier psychyatre de la longue liste des médecins

Le virus poison

Sur wikipédia, l'encyclopédie sur Internet avec la page concernant "la schizophrénie" j'ai pu lire que "le poison provocateur des premiers symptômes" dispose de 30 mois pour faire apparaitre les premiers signes de la maladie; en l'occurence (insomnies et ensuite irritabilité, forcément). Donc, par conséquent, c'est sur ce point qu'elle avait admis que la cause première de la maladie est provoquée instantanément par une "substance", un produit externe (appelons-le, le virus) qui vient se loger dans un premier temps dans la flore intestinale puis se "dirige" vers le cerveau et provoque la maladie, de façon immédiate ou avec une gestation de trente mois. Lors des précédentes consultations, elle n'a jamais remis en cause le fait que la maladie était à son origine un virus qui n'avait rien à voir avec des conduites limites et dangereuses. Je dois maintenant, signaler qu'ayant beaucoup communiqué sur les conduites à risques lié à la jeunesse et la précarité, je ne rentre plus dans ces statistiques ni ce cas de figure car j'ai arrêté de fumer depuis plus dix ans et de boire depuis 3 ans.

03/1989

Toutefois, j'ai bel et bien été infecté en mars ou avril 1989, une période où j'arrive à me remémorer les circonstances et les possibles situations où a eu lieu, cette intoxication. Quant aux donneurs d'ordres, il suffirait de consulter les données concernant les transactions bancaires effectués avant, pendant et auprès, de quelques intéressés plus ou moins proches. A ce sujet, il serait bon de connaître les émetteurs, le montant et les destinataires des possibles virements effectués; Dans le cadre d'une enquète à l'echelle européenne, il faudrait envisager de croiser les données; à savoir, identifier chacun des intervenants, victimes et persécuteurs; entendre les témoignages des uns et des autres, faire un bilan médical et une enquète financière sur les revenus de tous et ceci, au delà des éléments de la santé mentale mais également physique. Tous devront répondre de leurs actes dans un cadre légal, officiel et de justice.

Produit chimique

Ayant pour objectif, la vérité afin de mettre en évidence les faits et amener à des réparations financières à leur juste valeur, nous comptons bien normalement prétendre face à des préjudices conséquents et peut être irrémédiables avec des dédomagements proportionnés en rapport avec les ressources de chacun des mis en cause car reposant sur des détails précis concernant, le "produit chimique déclencheur" comme expliqué ci-dessus. Les symptômes n'ont probablement rien à voir avec les conduites, dites à risques. Le débat privé et public qui interrogent sur nos nations et l'avenir de tous nos enfants se pose ici. Les conclusions apportés et placés sur le devant de la scène médiatique doit mettre en évidence les véritables acteurs et leurs niveaux de responsabilités et peut avoir un rapport indirectes avec la religion dans chacune des vastes affaires de virus et de guerre, de l'est comme du sud.

Le client

Donc, à l'occasion de cette consultation, avec ma psychiatre, ses propos changent avec une nouvelle version où elle rejette ce qu'elle a admit, précédement. J'y observe, comme un vulgaire client, un manque de cohérence flagrant qui s'inscrit avec des motivations curieuses ou tactiques. Pour autant, sans évoquer mon ressentie, elle m'a présenté une ordonnance à la hausse par rapport aux précédentes et a évité les questions qui s'y rapportait en se focalisant sur d'autres sujets, (prise de la tension et du rythme cardiaque.)

Plainte ou pas

Par ailleurs, après ce dernier épisode, je serais très intéressé par la liste des numéros de téléphone avec ses correspondants, entrants et sortants de son domicile depuis mes premières consultations à partir d'avril 2022; un travail très simple dans le cadre d'une enquète de police où tout le monde dans ce monde, devra dire la vérité. Même à Bruxelles...et nous sommes nombreux


C'était hier

Cette petite ville dans la banlieue ouest de Paris a été pendant longtemps après la seconde guerre mondiale, un fief des communistes, elle était composée en partie de taudis insalubre et de garages automobiles à proximité des importantes usines Citroën. Imposante, est encore la mairie de type Haussmanien et les quelques immeubles qui l'entoure. Cette ville m'a vu naître à la maternité de Levallois-Perret en septembre 1966 et elle a beaucoup changé. L'on peut affirmer que désormais, elle soit devenue la partie pauvre jouxtant Neuilly sur Seine, une petite ville où le PIB par habitant est le plus important du pays. Levallois, l'endroit où réside, actuellement, les cadres pauvres, si l'on peut dire, est vassalisé par Neuilly. Je m'en amuse d'en faire une petite carricature mais l'histoire me donne t-elle, raison ? En tout cas, les hôtels particuliers se trouvaient à Neuilly, les usines à Levallois et depuis, le prix de l'immobillier a fortement augmenté, ce qui n'est pas une bonne nouvelle.

Château de Versailles

Je vais passer les dix premières années de ma vie sur terre à Versailles, ville ô combien glorieuse et où l'on peut appercevoir les impératifs de l'histoire de france avec l'ancien régime pendant le rêgne de Louis XIV. En l'occurence, il était question de résider loin de Paris, car la vindicte de la foule compacte Parisienne aurait pu poser problème au roi s'il était resté au Louvre. A cet âge tendre de mon enfance, entouré par la bienveillance de mes parents, de ma soeur et de mon frère, j'ai vécu cet havre de paix dans les années soixantes-dix comme presque merveilleuse, à un détail près. La pluralité sociale des camarades qui m'entourait avec des fréquentations qui allaient de génération d'enfant de vieilles familles versaillaise catholiques, au fils du gardien de la partie ouest du Château, Hervé. Du plus petit mais désopillant, Stéphane, sans oublier Pierre, le plus belliqueux mais ayant déjà en tête, la lourde responsabilité d'assumer la défense de son territoire avec un caractère bien trempé.

L'esprit de Noël

Evidemment, bien entouré dans la cellule familliale, l'épanouissement et la protection de tous favorisait mon appétit modéré pour la vie en dehors des murs de l'appartement spacieux où nous avions la chance d'habiter et de vivre. Dernier, d'une famille de trois enfants dont le frère et la soeur étaient plus âgé de 6 et 7 ans; je ressentais à la fois, la chaleur d'un univers préservé et la curiosité sans retenue auprès de mes deux ainés et de mes parents. Bien qu'un peu solitaire dans ce monde de grandes personnes, j'avais une réalité bien à moi, dans ma chambre avec un petit transistor crachouillant les médias radios avec en écoute en alternance rtl, europe 1 et france-inter. Elles m'accompagnaient très souvent dans la solitude de ma chambre avec mes jouets et je vivais hors de ces murs des aventures plus ou moins assidues à mes jeux comme de mon écoute. Cette attention que je devais par intermittence entendre ou faire agir me donnait l'occasion de travailler deux choses à la fois. Cette extraordinnaire disposition à l'ubiquité, à être partout, cette omniprésence double, face à la connaissance, la dualité complète de mes préoccupations entre le jeu et l'écoute, participait et entretennait, un trait de caractère et une singulière personnalité. Mes distractions étaient partagées entre la lecture, la construction de villes en briques Légo, les petits soldats, les maquettes en plastique à construire et décorer, les mannequins Action Joe, les livres disques Phillips et les échecs. Dans mon petit crâne de blondinet dans lequel se trouvait mille et un remède contre l'apathie, résonnait les trompettes de la culture et la volonté de bâtir et de vivre des situations sans en connaître l'âpreté. Je m'imaginais des situations entrecoupées: par le rythme et les couplets des chansons du moments; l'inquiétude formelle du journaliste sur le terrain des hostilités du monde; l'intimité du discours de personnalité rayonnante et instruite dans une langue où je ne connaissais que le niveau de compréhension le plus abordable. De tout ça, je ne retenais que l'essentiel, face à face avec mon jeune âge. Ce qui aura pour la suite, des conséquences dont je vais finir par trouver raison et une faculté et une disposition à l'expression, tant bien que mal chahutées par mes professeurs.


Pour revenir en haut de la page Retour rubrique
 
météo
contact
Carte de france et plus loin